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Guide d’achat

d’une grelinette

Bêcher son jardin : pourquoi et comment?

Bêcher son jardin est une étape essentielle pour tout jardinier souhaitant cultiver des légumes dans son potager. Le bêchage permet aux racines des végétaux de pénétrer facilement dans le sol. Il existe des méthodes simples pour ameublir votre sol. Je vais d’abord vous expliquer les raisons pour lesquelles il est essentiel de bêcher votre jardin et comment bêcher sans abîmer votre sol.

bêcher sa terre au potager

Pourquoi bêcher son jardin? 

Bêcher son jardin, c’est préparer et aérer la terre afin qu’elle puisse laisser s’enraciner les plantes. Les plantes, qu’elles soient potagères ou non, ont besoin de nutriments. Ces nutriments se situent dans les profondeurs des sols. Naturellement, les racines vont puiser sous terre les nutriments nécessaires à leur croissance. 

Si la terre est trop dure, les racines ne pourront pas trouver les nutriments essentiels à son développement.

Bêcher son jardin permet d’oxygéner le sol mais aussi de limiter la repousse des mauvaises herbes. En bêchant, on se débarrasse des graines des mauvaises herbes qui ont poussé pendant la saison passée. En bêchant, on réduit donc leur nouvelle croissance. 

Bêche ou grelinette?

Traditionnellement, le bêchage s’effectue avec une bêche. Cet outil de jardinage était beaucoup utilisé par nos grands-parents, qui n’avaient pas d’autres outils à leur disposition. 

Dans les années 60, Monsieur Grelin inventa la grelinette. Cet outil va révolutionner le travail de la terre. Contrairement à la bêche qui déstructure le sol, la grelinette permet de décompacter la terre sans retourner les couches souterraines. Elle préserve les micro-organismes du sol car ils restent dans la couche leur correspondant. Elle est une alternative écologique, simple à utiliser et efficace pour aérer votre sol. 

Comment bêcher son jardin sans abîmer son sol? 

L’outil idéal pour bêcher son sol sans l’abîmer est donc la grelinette. Cette fourche bio est un outil à dents dotée de deux manches en bois qui invite le jardinier à travailler sans se faire mal au dos. Ses dents ne fragmentent pas la terre mais l’aère, en préservant les micro-organismes et autres habitants du sol. En quelques va-et-vient, la terre est retournée sans contraintes.  

En jardinage biologique, elle est de plus en plus convoitée car elle permet un travail en surface. 

Chaque micro-organisme vivant dans le sol a une fonction. Les détruire vient nuire à l’équilibre de la vie souterraine. La grelinette permet de décompacter la terre sans détruire cette vie.  

Si vous avez une fourche bêche, elle aura la même fonction que la grelinette et pourra être utilisée pour bêcher sans abîmer votre sol. Ce sont des outils faciles à manier qui préservent aussi le dos du jardinier (grâce à ses deux manches en bois).  

La grelinette a également pour fonction de faciliter l’apport d’engrais dans le sol de votre potager. 

La grelinette a beaucoup d’autres avantages

Quand bêcher son jardin ?

Il y a deux grandes périodes de bêchage dans l’année : en automne et au printemps. 

La meilleure saison pour préparer la terre de son jardin est l’automne. Sur un sol juste compact en surface, un petit coup de griffe suffit. Si le sol est compacté en profondeur, il faudra l’aérer en utilisant une fourche bêche. Avant les premières gelées, quand la terre n’est ni trop lourde ni trop sèche, je vous conseille de faire un bêchage grossier. Le bêchage grossier consiste à laisser les mottes de terre et ne pas les “casser”. 

Pendant l’hiver, l’eau du sol gelée va décompacter le sol. Après ce bêchage grossier, vous pourrez apporter de la matière organique, du fumier ou du compost afin de nourrir votre sol pendant l’hiver.

Au printemps, la matière aura été assimilée par le sol et il sera beaucoup plus facile à travailler et prêt à recevoir vos semis et vos plantations. Un bêchage en surface sera à privilégier pour travailler la terre avant vos cultures.  

Cultivateur à roue: test et avis !

Le cultivateur à roue, encore appelé houe maraîchère ou pousse pousse, est un outil qui séduit de plus en plus de jardiniers amateurs ! Et pour cause, c’est un outil non motorisé, ergonomique et polyvalent ! Avec cette houe, vous pouvez effectuer diverses tâches au potager : sarcler (désherber), butter, griffer pour aérer la terre, ameublir, casser les mottes, tracer un sillon pour repiquer des salades ou des oignons.. 

J’ai testé le cultivateur à roue de la marque OSE. 

Description

Le cultivateur à roue Ose est un outil polyvalent composé de 4 accessoires: 1 sarcloir, 1 butoir, 1 griffe, 1 soc de charrue. Chaque accessoire a une fonction différente. Le sarcloir sert à désherber, il a le même rôle qu’une binette. Le butoir sert à tracer un sillon. La griffe permet d’ameublir le sol en surface (15 centimètres), elle est pratique pour préparer la terre avant les semis ou les plantations. Le soc de charrue sert à “scalper” la terre avant de la soulever.

Caractéristiques techniques

 

  • 2 poignées ergonomiques
  • 4 accessoires: 1 sarcloir, 1 butoir, 1 griffe, 1 soc de charrue
  • Matière : métal
  • Longueur de l’outil (du manche aux accessoires) : 150 centimètres
  • Largeur de la tête : 18 centimètres
  • Longueur de la tête: 23 centimètres
  • Poids : 13,33 Kgs
  • Dimensions du produit (L x l x h) : 19,99 x 38,99 x 72,01 centimètres
  • Roue gonflable : 40 centimètres de diamètre

Avantages

  • Facile à utiliser 
  • Facile à monter 
  • Polyvalent : 1 outil multifonction 
  • Ergonomique: évite le mal de dos 
  • Écologique 
  • Bon marché

Inconvénients

  • Non adapté aux terres trop dures 

Mon avis sur le cultivateur Ose

J’ai utilisé cette houe maraîchère et ses 4 accessoires dans mon potager et j’avoue qu’il est très efficace. Mon retour sur ce produit est positif. Ayant une terre assez meuble, je n’ai rencontré aucune difficulté dans l’utilisation des accessoires

Les mauvaises herbes se sont facilement arrachées avec le sarcloir, la griffe est très pratique pour casser les mottes et aérer la terre en surface. Le soc de charrue coupe bien la terre. Il est facile à manipuler et le passage entre les allées se fait facilement. Il est effectivement facile à utiliser et les accessoires sont faciles à interchanger. La structure de l’outil est solide et l’utilisation est intuitive. 

C’est un outil au prix raisonnable qu’il convient d’avoir au jardin et qui remplace un bon nombre d’outils. Aussi, c’est un outil écologique qui ne nécessite que l’énergie du corps. 

C’est un outil parfait pour l’entretien des jardins de taille moyenne!  

10 conseils pour faire un jardin en permaculture

La permaculture est un concept global qui repose sur 3 principes :

  • Prendre soin de la terre
  • Prendre soin des hommes
  • Redistribuer les surplus.

réaliser un jardin en permaculture

Créer un potager en permaculture signifie pratiquer une agriculture permanente, en d’autres termes, une agriculture biologique respectueuse de la biodiversité et de l’humain, basée sur la reproduction des écosystèmes naturels.

1. Observer et interagir

Comme toute “discipline”, l’observation est une phase essentielle avant de se lancer dans un potager en permaculture. En effet, cette phase va permettre de ressentir le lieu, de le comprendre en intégrant tous les éléments comme les végétaux, le soleil, le vent, l’eau, les animaux, la terre.

Pour commencer un jardin en permaculture pendant la phase d’observation, mon conseil est de planter quelques légumes dans certaines zones, cela vous permettra d’évaluer le comportement des cultures et de comprendre votre terre et de vous poser quelques questions comme celles ci : Le sol est-il argileux, sablonneux, limoneux? Quelles sont les plantes bio-indicatrices? Les poivrons poussent-ils mieux en plein soleil? Les carottes poussent-elles mieux dans une terre sablonneuse? Sur buttes? Aussi, vous pouvez commencer à faire quelques associations. L’ail et les fraises se marient-elles bien? Les aubergines poussent-elles mieux à côté des courgettes? Observez aussi les oiseaux et les autres habitants se baladant dans votre jardin. Quel rôle ont-ils dans l’éco-système? Comment se comportent-ils? 

En observant votre potager, vous pourrez avoir les réponses à toutes ces questions et équilibrer vos actions intelligemment en comprenant les écosystèmes qui vous entourent.  

jardin biologique

2. Collecter et stocker l’énergie

L’énergie permet la vie. Au jardin potager, l’énergie solaire et l’eau sont les ressources naturelles qu’il est important de préserver et de stocker. Ces ressources sont non seulement naturelles, mais elles sont aussi durables, contrairement à l’énergie artificielle ou fossile. L’énergie solaire est captée par les végétaux par photosynthèse et redistribuée au vivant, sous forme de chaîne alimentaire. 

Une fois l’énergie captée, il s’agit de la stocker. Cette méthode est ancestrale et utilisée instinctivement par le monde animal et végétal pour survivre à l’hiver. 

En jardinage bio, ces deux ressources, utilisées de manière équilibrée, sont indispensables à la culture de fruits et légumes. Le principe est de capter ces ressources, les stocker, et les redistribuer au bon moment. 

Comment stocker l’eau? 

Voici quelques astuces :

  • Installer une cuve ou un réservoir si possible relié à une gouttière : La récupération de l’eau de pluie dans une cuve va permettre de stocker une grande quantité d’eau et l’utiliser en cas de fortes chaleurs ou de sécheresse. 
  • Couvrir le sol : La couverture du terrain permet de limiter l’évaporation et limiter les arrosages. Le paillage va absorber doucement l’eau et la retenir. 

Comment stocker la chaleur et la lumière? 

Naturellement, les plantations stockent la lumière et la distribuent grâce au processus de la photosynthèse. Les plantes absorbent l’énergie solaire  et la transforment en nutriments, redistribués sous forme de fruits et d’oxygène. 

3. Eviter le travail du sol 

En permaculture, il faut essayer de limiter au maximum le travail du sol afin de préserver la vie microbienne. Il existe différentes méthodes qui permettent de ne pas intervenir sur le sol : 

  • Pailler en automne : couvrir le sol va permettre d’assouplir le sol et de le décompacter. Ainsi, au printemps, il suffira de passer la grelinette. Cela permettra aussi de moins désherber au moment des plantations. 
  • Passer la grelinette afin d’aérer le terrain sans le retourner : cela va l’ameublir sans le déstructurer. 
  • Cultiver des engrais verts : la terre déteste être à nu, planter des engrais verts permet d’occuper l’espace et de recharger la terre en l’azote. Les racines vont s’enfoncer dans la terre et la décompacter.

Ces pratiques évitent le travail du sol et préservent la vie des micro-organismes. 

paillage au potager

4. Couvrir son sol et le nourrir

En jardinage biologique, couvrir son sol, c’est imiter le schéma forestier. En effet, dans la forêt, en automne, les feuilles mortes tombent sur le sol et lui offrent une couverture naturelle tout l’hiver. Elles alimentent les organismes vivant dans le sol et se décomposent naturellement. 

En jardinage écologique, couvrir son sol permet de le nourrir et de lui apporter de la fertilité. Aussi, cela va apporter les nutriments nécessaires à la croissance des légumes et autres cultures et nourrir les organismes vivant dans le sol (bactéries, vers de terre, champignons, etc). En couvrant ses planches de culture, vous allez garder votre terre vivante et fertile. Vous pouvez couvrir votre sol de feuilles mortes, mais aussi de paillis, de foin, de la tonte de gazon, de compostage de surface et autres ressources disponibles sur votre lieu.

Ainsi, chaque année, pour la culture des semis, cette méthode vous permettra d’avoir moins de mauvaises herbes et surtout, d’avoir un sol riche. Cela sera favorable à vos plantations. 

La couverture végétale va également limiter l’évaporation et donc limiter l’arrosage. Cela stabilise également l’humidité dans le sol et crée un équilibre naturel. Cela va limiter les adventices (“mauvaises herbes”), privées de la lumière du soleil, et donc, limiter le désherbage.  

5. Utiliser et valoriser les ressources

Un des principes essentiels en permaculture est d’utiliser les ressources renouvelables disponibles sur place. Dans la nature, elles sont fournies par les plantes, les animaux, la terre, le soleil, le vent, l’eau, les marées. Par exemple, l’arbre procure de l’ombre, l’eau de pluie arrose les cultures, la matière organique nourrit les animaux, les oiseaux sèment des graines via leurs déjections etc. Les poules sont d’excellentes “ressources” à avoir au potager. Elles grattent le sol, mangent les insectes et offrent leurs déjections à la terre.  

La permaculture a pour principe d’utiliser le mieux possible les ressources renouvelables afin d’obtenir un équilibre et d’obtenir une production végétale optimale sur le long terme. 

6. Créer une vraie biodiversité au potager

hotel à insecte

En permaculture, la biodiversité c’est l’équilibre! 

Cultiver un potager en suivant les principes de la permaculture, c’est faire en sorte de créer un équilibre en considérant tous les écosystèmes. 

Qu’est ce que la biodiversité?

La biodiversité, c’est la diversité des habitats, la diversité des espèces et la diversité au sein d’une même espèce. 

  • La diversité des habitats: Plus on va créer de « maisons » différentes, plus on va avoir d’espèces : il s’agira d’ajouter une mare, une prairie fleurie, une zone humide, un tas de bois, un compost… l’idée est d’avoir une diversité de milieux différents qui vont attirer une variété plus grande d’espèces. Chaque maison va attirer une espèce différente.
  • La diversité des espèces : Plus on a de milieux, plus on a de diversité d’espèces. Par exemple, dans la mare, on va attirer les grenouilles, les tritons, les papillons, dans le tas de bois, on va attirer les abeilles solitaires, etc. 
  • La diversité au sein d’une même espèce : on va faire en sorte d’avoir un brassage génétique. Ainsi, les espèces vont développer des stratégies et être capables de s’adapter aux changements du milieu. 

Quel que soit votre profil, vous pouvez favoriser la biodiversité. Que vous soyez jardiniers amateurs, maraîchers, que vous ayez des jardins pédagogiques, familiaux ou des jardins partagés, une petite parcelle ou des hectares, vous pouvez améliorer la richesse du milieu.

Comment favoriser la biodiversité? 

Voici quelques astuces :

  • Attirer les insectes pollinisateurs : en construisant les hôtels à insectes
  • Accueillir les auxiliaires : attirer les coccinelles pour protéger ses tomates des pucerons
  • Planter des arbres fruitiers 
  • Construire des brises vents : haies fruitières 
  • Créer des mares, des abreuvoirs
  • Créer des abris : cabanes à hérissons, postes d’affût pour les buses qui vont manger les campagnols… 
  • Planter des légumes, des fleurs, des vivaces, des plantes aromatiques
  • N’utilisez pas de pesticides… Ils détruisent la biodiversité. 

En intégrant un maximum d’éléments dans son potager, le jardinier va gagner du temps, de l’énergie et avoir un potager productif. En accueillant le vivant végétal et animal, il va équilibrer le système. 

7. Chaque élément remplit plusieurs fonctions en permaculture

“Chaque élément doit remplir plusieurs fonctions, et chaque fonction doit être remplie par plusieurs éléments”.

En permaculture, c’est un adage clé qui permet de créer une biodiversité interconnectée favorable au potager.

Si vous n’avez pas la réponse à ce que peut apporter telle chose, observez la nature, elle aura votre réponse.

poules au potager

Voici quelques exemples afin d’illustrer ce principe: 

  • L’arbre fournit de l’ombre, produit des fruits chaque année, a un système racinaire bénéfique aux végétaux plantés à son pied, protège des vents dominants, produit des feuilles mortes qui apporteront une couverture au potager etc.  
  • Les fleurs sont des plantes compagnes qui vont attirer les pollinisateurs, elles ont des vertus médicinales, elles apportent aussi de la beauté au potager etc.
  • Les poules produisent des œufs, mais aussi de l’engrais naturel (fientes riches en phosphore, potassium, azote), elles mangent les épluchures de légumes n’allant pas au compost, et elles sont par-dessus tout très attachantes ! 
  • Les ruches sont un abri pour les abeilles qui produisent du miel et autres produits dérivés, qui pollinisent au verger et au potager. Les ruches préservent également l’espèce qu’il est primordial de protéger. 
  • Le paillis limite les adventices, nourrit les plantes et conserve l’humidité.
  • Une haie fruitière fournit des fruits que vous pourrez récolter, elle peut servir de brise vent, et de brise vu !  Elle abrite également une faune diverse. 

Dans la mise en place d’un jardin vivant et de l’élaboration du plan, il sera intéressant de réfléchir à l’aménagement et la connexion de chaque élément par rapport à leur fonction. 

8. Ne pas produire de déchets

En valorisant les ressources, on va limiter la taille des déchets. Il s’agit là de réutiliser, recycler et composter pour optimiser l’écosystème. 

Voici quelques conseils pour ne pas produire de déchets dans votre potager biologique  : 

  • Composter les restes de cultures et les épluchures de légumes, vous pourrez nourrir notre sol
  • Pailler avec les feuilles mortes
  • Créer des refuges à insectes avec les branchages
  • Faire du BRF avec vos branches de fruitiers ou d’arbustes et amender le sol 
  • Utiliser des branches pour délimiter vos planches

9. Utiliser des solutions durables et lentes

Cultiver un jardin en permaculture demande d’être patient et de construire progressivement. Cela demande aussi une méthode. Si vous débutez votre jardin potager biologique, commencez par une petite surface de culture, un carré potager en semant quelques graines, en cultivant quelques plants de tomates, quelques semis de radis ou de carottes, quelques salades, quelques plants de pommes de terre puis observez leurs comportements et évolutions. 

En permaculture, il est important d’avoir une vision long terme et utiliser des méthodes durables. 

Aussi, il faut aussi accepter de ne pas maîtriser la nature et accepter son rythme, accepter de se confronter à des aléas climatiques, à des prédateurs, à des maladies cryptogamiques… Un jardin vivant et productif, c’est un jardin qui a été réfléchi en termes de biodiversité, d’aménagement, et de résilience. 

10. Etre créatif face aux changements

« Rien n’est permanent, sauf le changement »

Le changement fait partie de notre vie quotidienne et nous nous y adaptons en permanence. Certains changements dépassent cependant notre contrôle. C’est le cas des événements météorologiques (inondations, séismes, sécheresse, maladies, invasions d’espèces, etc). Pour survivre aux changements hors de notre contrôle, il est plus efficace de s’adapter que de résister. Faire un potager en appliquant les principes et conseils de l’agroécologie, c’est apprendre à cultiver autrement.

La nature s’auto régule par elle-même. Lorsque l’on souhaite aménager un potager en permaculture et reproduire son schéma, nous devons accueillir le changement de manière positive et être créatif. Le problème devient la solution dans un système qui s’équilibre. Les nuisibles comme les limaces deviennent alors des compagnons, l’excès de pluie devient une ressource durable, les adventices deviennent des plantes bio-indicatrices… 

Faire de la permaculture, c’est faire preuve d’adaptation et d’ingéniosité.